Avez-vous pensé à son entretien ?
Nos principales communes d’intervention : Bondues, Mouvaux, Marcq-en-Baroeul, Wambrechies. Habitez-vous ailleurs ?
Le ramonage ne se résume pas à un simple nettoyage du conduit. Lors de leurs interventions, nos techniciens s’occupent bien sûr du nettoyage du conduit, mais ils réalisent également une analyse complète de l’installation, examinant les suies, les éventuels goudrons, le type de bois utilisé, etc. Ils identifient les éventuelles anomalies susceptibles de compromettre la sécurité du foyer, prodiguent des conseils sur l’utilisation optimale de l’installation, et fournissent des recommandations pour en maximiser l’efficacité. À la fin de leur intervention, un certificat de ramonage est délivré par la société Jeramone, attestant que l’utilisateur peut utiliser l’installation en toute sécurité. Une fois que d’éventuelles remarques ont été prises en compte et levées sur le certificat, Jeramone assume la responsabilité de la sécurité de l’installation.
Depuis le 1er octobre 2023, la loi oblige à ramener son conduit de fumée au minimum une fois par an ( décret n° 2023-641).
Rien n’interdit à un particulier de procéder lui-même au nettoyage de son conduit. Cependant, le règlement sanitaire départemental exige, en fonction du type de combustible, la présentation de deux certificats de ramonage par an, délivrés par un professionnel. Ainsi, en optant pour un ramonage effectué en autonomie, l’utilisateur se retrouvera dans l’incapacité de fournir une preuve formelle de l’exécution du ramonage. Les bûches de ramonage présentent un intérêt certain, car elles ont la capacité de déloger les suies et goudrons du conduit. Cela peut faciliter le ramonage mécanique ultérieur (avec un hérisson), mais ne le remplace pas. Il est couramment indiqué sur l’emballage de ces bûches qu’elles ne constituent pas un substitut au ramonage mécanique. En outre, bien que ces bûches soient souvent accompagnées d’une « attestation de ramonage pour les assurances », il est important de noter que cette attestation n’a aucune valeur légale. La loi exige un « certificat » de ramonage, et en cas de sinistre, les utilisateurs pourraient subir les conséquences de ces subtilités sémantiques.
L’entreprise jeramone se charge du ramonage du conduit et, sur demande, propose le nettoyage de la chaudière, incluant l’élimination des suies du corps de chauffe.
Il est essentiel de ne pas confondre cette intervention avec l’entretien de la chaudière, une procédure qui englobe la vérification, la mesure, le réglage et le nettoyage des principaux organes de fonctionnement des chaudières, opération réalisée par un chauffagiste.
En ce qui concerne les poêles à granulés, jeramone assure le ramonage du conduit. Il est crucial de ne pas confondre cette prestation avec l’entretien du poêle à granulés, qui comprend la vérification, la mesure, le réglage et le nettoyage des principaux organes de fonctionnement du poêle. Cette opération doit être effectuée par l’installateur ou un fumiste agréé pour la marque spécifique de votre poêle.
Les matériaux réfractaires, tels que la vermiculite et la chamotte, sont fréquemment utilisés pour revêtir l’intérieur de certains poêles et inserts. Ils sont généralement agencés sous forme de plaques imbriquées les unes dans les autres.
Ces plaques, souvent appelées « briques » ou « pierres », ont pour fonction de protéger et de favoriser la diffusion de la chaleur. Elles sont considérées comme des pièces d’usure, classées parmi les éléments « consommables ».
Il est important de noter que notre technicien ne peut pas être tenu responsable en cas de casse de pierres, briques ou plaques réfractaires en raison de leur fragilité.
Les caractéristiques techniques de ces pierres réfractaires comprennent une résistance à la chaleur allant jusqu’à 1200°C, offrant d’excellentes propriétés isolantes. Elles permettent une montée rapide de la chambre de combustion suivie d’un maintien des températures, contribuant ainsi à des rendements supérieurs à 80%. En plus de leur aspect moderne, elles présentent cependant une certaine fragilité et une sensibilité aux chocs et aux rayures.
En ce qui concerne les coûts, il existe une grande variation entre les modèles et marques de poêles, avec des plaques vendues individuellement ou en ensembles complets, coûtant entre 30€ et plus de 300€.
La durabilité de ces matériaux varie entre 3 et 5 ans en fonction de la qualité et de la marque. Certaines plaques peuvent présenter des fissures dès les premiers mois, parfois invisibles à l’œil nu, et il n’est pas rare qu’une plaque cède lors du démontage, même sans choc apparent. Bien que des fissures n’entraînent généralement aucun risque ni dysfonctionnement, des dommages peuvent survenir au carénage du poêle si les plaques sont percées de part en part.
Une astuce pratique consiste à utiliser un gant de protection lors de l’alimentation du poêle pour éviter de lancer violemment les bûches et ainsi fragiliser les pierres. En cas de fissure, il est possible de recoller la plaque avec de la colle réfractaire, en suivant les instructions du fabricant, ce qui peut prolonger la durée de vie des plaques. Pour les plaques droites, il est également envisageable d’acheter des plaques en vrac et de les découper avec une scie en reproduisant la forme de la plaque d’origine au crayon. Cependant, cette option n’est pas possible pour les plaques incurvées.
Pour obtenir une flamme durable et une chaleur prolongée, il est recommandé de privilégier les bois durs tels que le chêne, le charme, l’érable, le frêne, l’orme, le bouleau de montagne, le hêtre, le noyer, et l’olivier. Pour des bois moins denses mais toujours intéressants, on peut opter pour le robinier (acacia), les arbres fruitiers cultivés ou sauvages, le merisier, l’alisier, le sorbier, le saule à larges feuilles, etc.
Le critère le plus important est la sécheresse du bois. En effet, le bois humide est l’une des causes des feux de cheminée, car cela favorise la formation rapide de bistre (ou goudron) qui peut s’enflammer dans les conduits.
Il est essentiel de laisser suffisamment de temps au bois pour sécher, généralement 2 à 3 ans, afin qu’il atteigne un taux d’humidité compris entre 15% et 20%. L’utilisation d’un testeur d’humidité lors de la réception de nouvelles livraisons de bois est recommandée.
Pour un séchage optimal, le bois doit être stocké dans un endroit bien aéré et sur des palettes. Il est également conseillé de fendre les gros morceaux pour accélérer le processus de séchage.
Certains types de bois doivent être évités, tels que le bois traité, peint, verni, contreplaqué ou plaques d’aggloméré, car ils peuvent dégager des substances toxiques lors de la combustion, endommager le conduit de cheminée et polluer l’environnement.
Les bois résineux, tels que l’épicéa, le sapin, le pin, le cèdre, le cyprès, le mélèze, demandent plus de temps pour sécher, et il est recommandé de les brûler avec d’autres essences de bois tout en vérifiant attentivement leur taux d’humidité.
Enfin, l’utilisation du bois de châtaignier dans un foyer ouvert est déconseillée en raison de son tendance à éclater lors de la combustion, ce qui peut présenter des risques.
Que vous soyez un boulanger ou un pizzaiolo, nous savons pertinemment que vos professions ont besoin de nos services. Contactez-nous pour obtenir un devis sur mesure.